Leslie Re18 : Souvenirs – Escorte Occasionnelle, Suite 2

Leslie RE18 – Les récits érotiques
Souvenirs – Escorte occasionnelle, suite 2

Deux jours plus tard, Caroline reçut un appel téléphonique de Madame Parker, qui comme elle lui avait dit s’adressait à Sylvie, son prénom d’escorte.
- Allo, bonjour Sylvie, Madame Parker à l’appareil, je vous appel pour vous dire que vos résultats sont bons, pas de maladie, et notre médecin nous a confirmé votre bon état de santé. Donc vous êtes maintenant dans notre root-book et attendez-vous à ce que je vous rappelle bientôt…
Le lendemain elle reçu un téléphone portable, payé par l’agence, qui était spécialement dédié à ses activités d’escorte, ainsi que la copie de la page du root-book qui lui étaient consacrées.
Une page au format standard, recto et verso, avec sept photos d’elle, une description et ses mensurations. Sur l’endroit de la feuille, deux photos d’elle en tenue de soirée et une présentation :
« Elle s’appelle Sylvie, belle jeune femme de classe pour les hommes les plus exigeants, elle est instruite et libre. Appréciant son travail d’escorte, elle peut vous accompagner lors de vos soirées, le week-end et pourquoi pas lors d’un voyage professionnel ou simplement romantique, pour devenir un moment inoubliable.
Elle deviendra, suivant vos désirs et exigences, secrétaire d’affaire, compagne mondaine, voir simplement une amie ou à vous de voir…
Vous serez en présence d’une fille sensuelle qui vous rendra heureux de sa présence à votre bras ou ailleurs, sa silhouette menue vous séduira. Ouverte et intime, menue et féminine, vous ne pourrez plus vous passer d’elle car elle a tellement de passion à partager qu’il faut la rencontrer pour faire partie de sa fabuleuse aventure ... »
Sur l’envers, cinq photos dont quatre où elle apparait en tenue légère, érotique sans être vulgaire, une autre la montrant nue de dos laissant voir ses fesses et la cambrure de ses reins et une description de son apparence physique :
« Sylvie, française de vingt-trois ans, d’un mètre soixante-seize et d’un poids de cinquante-sept kilos, une poitrine naturelle de quatre-vingt-cinq B, brune aux cheveux courts et aux yeux bleus.

»

Il ne fallut pas longtemps pour que Madame Parker rappelle Caroline, enfin Sylvie, car dès le lendemain le téléphone se met à sonner et Madame Parker lui dit que son premier rendez-vous l’attendrait au restaurant pour un diner d’affaire
C’est un homme de province qui, de passage à Paris pour le salon des arts-ménagers, avait besoin d’une compagnie pour faire un diner d’affaires. Le rendez-vous était donné directement au restaurant, où il l’attendrait avec un œillet blanc à la boutonnière de sa veste.
Ce premier rendez-vous c’est très bien passé et Sylvie (Caroline) n’a eu que des compliments, faite à la directrice, sur son comportement très professionnelle et son érudition lors des conversations, le client promettant de la réclamer lors de son prochain passage à Paris.
Il s’en suivi trois autres prestations avec des éloges de la part des clients qui firent la réputation de Sylvie (Caroline) et les demandes d’accompagnement s’accélérèrent. Comme les prestations étaient très bien rémunérées, Caroline mis son métier de photographe provisoirement en sourdine, ce qui ne fut pas difficile compte tenu du marché calme et peu rémunérateur.

La prestation suivante concernait un homme d’affaires canadien qui pour ses affaires lors de son séjour à Paris, avait besoin d’une escorte pour l’accompagner dans les diner et lors des négociations, la prestation devait durer deux jours, dont deux nuits complètes.
Le rendez-vous pour le soir, était donné au bar de l’hôtel où il était descendu et avait posé ses valises.
La fébrilité qui entoure les préparatifs, comme pour les fois précédentes, n’est pas descriptible. Caroline se pose toujours un tas de question, comment s’habiller, que va-t-il se passer, si elle doit coucher refusera-t-elle ou acceptera-t-elle, enfin elle se dit qu’elle verra bien…
Néanmoins, elle se prépare, une jupe noire pas trop courte, un chemisier blanc, sans soutien-gorge, et un string blanc, une paire de bas clairs et le porte-jarretelles viennent finir sa tenue et bien sur des chaussures à talons hauts.
Elle arrive devant l’hôtel, trois étoiles, peu de temps plus tard et entre, un seul homme attend à la réception. Environ quarante-cinq ans et bel homme en plus. Il lui sourit en se levant et l’invite d’un geste galant à le rejoindre.
Ils font connaissance, il dit s’appeler Thierry, plutôt charmant, elle pense qu’il doit avoir l’habitude de se faire escorter, car il est très détendu.
Au bout d’environ un quart d’heure, toujours en la vouvoyant, il lui demande de le suivre vers la salle de restaurant et rejoint une table où trois hommes sont déjà attablés.

Présentations, apéritif et le repas délicieux leur est servi, tout se passe à merveille et Thierry à l’air satisfait de la prestation de Sylvie. Puis les hommes prennent congé et ils se retrouvent en tête à tête pour boire une coupe de champagne.
Et là, l’homme lui demande :
- La prestation s’arrête là pour aujourd’hui et nous nous revoyons demain ou bien il y a une possibilité de continuer cette soirée ensemble ?
A cet instant, il lui faut choisir, elle était prévenue, et sans se poser de question et savoir ce que lui rapportera une prestation plus complète, elle répond :
- Cela ne me pose pas de problème de vous accompagner dans une prestation complète et plus intime, cela fait partie de la convention.
- Je dois vous préciser que le contrat est pour deux nuits.
- Ce n’est en aucun cas un problème, confirme-t-elle

Ils se lèvent et prennent l’ascenseur pour rejoindre la chambre, dans l’ascenseur brusquement il la saisit par la taille et se colle contre elle sans mot et elle sent le désir monter en elle, crée par l’inquiétude de l’inconnu futur et le désir qui la taraude.
Une fois arrivés à la porte de sa chambre, il la fait entrer et elle sent ses mains glisser sur son dos jusqu’à ses reins.
Sur le meuble à côté de la télé est posée une enveloppe à son prénom. Il lui la passe, et sans vérifier le contenu, la glisse dans son sac. Aussitôt il l’a saisi dans ses bras et elle sent ses mains parcourir son corps. Son ventre se colle au sien, et lui fait sentir combien il la désire. Il déboutonne son chemisier, sort ses seins du corsage ouvert et les caresse presque avec violence.
Elle se sent, pour la première fois de sa vie, utilisée, mais le désir est bien plus fort que la culpabilité, alors ses mains se mettent aussi à explorer le corps le son partenaire, elle ouvre sa chemise, puis son pantalon, et sans un mot elle sent une pression sur ses épaules.
Maintenant, elle est devenue une escorte, complète allant jusqu’au bout, il n’a même pas besoin de lui demander car elle sait ce qu’elle doit faire, c’est comme dans la vie normale, sinon que c’est avec un inconnu qui paye.
Elle s’agenouille sur la moquette et baisse le sous-vêtement, puis commence à donner des petits coups de langue sur la verge de bas en haut, elle l’entend soupirer, puis elle gobe un de ses testicules et tout le corps de l’homme se tend. Elle remonte à nouveau avec de petits coups de langue et embouche d’un coup ce sexe tendu, autant qu’elle le peut, car le membre s’est durci et a considérablement grossit, et elle entend :
- Ohhh oui, Sylvie, comme c’est bon.
Elle ralentit le rythme et joue à ce jeu que les femmes adorent quand elles sucent une queue, accélérer, ralentir, changer de caresses, pour ça pas de problème, elle s’est y faire… Après un long moment, elle est saisie aux épaules et remise debout. Les mains parcourent à nouveau son corps et ses habits lui sont ôtés et elle se retrouve nue avec seulement ses bas et son porte-jarretelles.
Son partenaire est nu lui aussi, et toujours dans le silence, elle est jetée en travers du lit et ses cuisses sont largement écartées pour offrir son intimité épilée, elle sent monter en elle une certaine excitation et un frisson lui parcoure le corps quand la bouche de l’homme vient se coller sur sa vulve, sa langue s’immisce entre ses lèvres et remonte sur son clitoris.
Elle n’a pas besoin de simuler le plaisir car de longs soupirs s’échappent de ma bouche, pendant qu’elle se cambre, deux doigts lui fouillent le vagin et elle pousse de petits cris de satisfaction.

Thierry se redresse et il la fait mettre à quatre pattes sur le lit, puis elle sent le gland se poser à l’entrée de son vagin, caresser ses grandes lèvres, et tout à coup elle prend conscience qu’elle ne s’est pas protégée, mais n’étant pas une adepte du latex elle se laisse aller et tandis que les mains saisissent ses hanches, il la pénètre brutalement.
La surprise de cette soudaine pénétration fait naître une légère douleur en elle quand son gland vient buter au fond de son ventre et lui fait pousser un petit cri, qu’il prend pour une manifestation de plaisir, et fait qu’aussitôt il lui assène de grands coups de boutoir.
A quatre pattes sur un lit d’hôtel, vêtue de ses bas, elle se fait baiser, comme par reflexe sa main glisse sous son ventre et elle se met à caresser son clitoris.
Au bout d’un moment, il la retourne, la couche sur le dos, s’allonge sur elle et la pénètre profondément, puis relève ses jambes sur ses épaules et continue de la baiser, puis soudain il se tend et se retire d’un coup pour éjaculer sur son ventre en poussant un râle de plaisir

Dans la nuit, Thierry lui a refait l’amour, mais cette fois en jouissant en elle et ils ont finis la nuit ensemble, dans les bras l’un de l’autre. Au petit matin après un petit déjeuner, une journée de réunions et de débats sur de futurs contrats, qui seront signés dans l’après-midi, puis retour à l’hôtel, une douche et les préparatifs pour un nouveau diner.
Un diner identique à celui de la veille pour sceller le partenariat signé quelques temps auparavant et à la fin du diner, retour dans la chambre pour une nouvelle prestations sexuelle…
A un moment, alors qu’il était en train d’aller et venir en elle, il lui demanda :
- Vous pratiquez la sodomie ?
- Ça m’arrive, lui dit-elle.
- Je suppose qu’il y a un petit supplément ?
- C’est normal.
Il l’a sodomisé une première fois, alors qu’elle était à quatre pattes sur le lit, puis une autre fois dans la nuit, collé contre elle dans son dos.
Au matin ils se sont quittés, lui très satisfait de la prestation de Sylvie, elle avec un petit mal au cul. Une fois dans sa voiture, elle a ouvert l’enveloppe pour constater qu’à l’intérieur il y avait une belle somme d’argent, alors en démarrant elle a pensé qu’elle ne s’était pas fait casser le cul pour rien…

A suivre…